11 janvier 2015
Au nom de Charlie Hebdo. Au nom du métier que je souhaite exercer. Au nom de la liberté d'expression.
Ces derniers jours j'étais triste, atterée, comme beaucoup de gens. Je me suis tenue à l'écart des réseaux sociaux qui en parlaient, je n'ai pas cherché à savoir ce qu'il se passait avec les terroristes. La seule chose que j'ai regardée, c'est la vidéo...